Henri Death... qui n'a jamais frissonné de la moustache en entendant ce nom... synonyme de gloire, de force et de consensualité. Henri Death naquit un beau matin de juillet 1985 aux confins de la petite ville Haute Saônoise de MoonBotts-les-bains. La révélation musicale lui vient d'un chanteur à moustaches, mais il du attendre longtemps avant se mettre à un instrument, en effet venant d'une famille noble (son vrai nom étant Henri De DeathR.I.PChuck) il lui faut subir une éducation strict dans une école suisse. Il s'évade... menant une vie de pochtron, il découvre Carlos... un autre chanteur à moustaches entre ainsi dans sa vie.

Pourtant malgré cette tentative de sauvetage par cure de gros en chemise Hawaïenne Henri se remet à manger des gaufrettes fourrées à la framboise (en fait je peux le dire qu'il s'agit d'un acte de pure cannibalisme puisqu'en fait, pour lui, manger des gaufrettes ainsi fourrée c'est ce vengé du meilleur membre des Musclés: Framboisier).

La rencontre avec Bob Lafritte fut fulgurante, alors qu'Henri errait dans les rues, mal rasé, mal fagoté, refoulant la sueur bestiale du putois, il lui prit une envie soudaine d'uriner. Il se retient jusqu'a atteindre le point de non retour, il se décide, trouve un coin où ce soulager, malheureusement dans le même coin se trouvait Bob Lafritte, ce qui donna lieu à un incident des plus cocasses. Alors qu'il était en train de se fritter lamentablement la gueule Henri entonna le crie de guerre de sa famille: "Montcul Saint Denis", alors Bob se bloqua et dit: "Et si on formait un groupe ??? Cela pourrait être fort en chocolat" "Oui ce serait fun, ce serait jeune" Voilà comment se passa la fameuse rencontre, le groupe pouvait commencer. C'est au cours d'une soirée qu'Henri rencontra Bredov Roumaniev, celui-ci lui montra ces multiples talents, il fut engagé sur le champs. Pour Irondick la rencontre ce fit par petite annonce (contrairement à la rumeur qui parle de boîte échangiste). Henri Death continue maintenant un brillante carrière sur la scène Brutal country Franche-Comtoise mais il est également très pris par le groupe qui lui demande beaucoup de son temps et de son argents.
Descendant d'une famille noble le jeune mais très prometteur Henri Death est à la basse ce que le label rouge est à la basse cour (si je peut me permettre se bien cavalier calembour) c'est à dire que dans tout bon groupe il y'a forcement une force afin de poursuivre quelques inhérentes catin Babylonique qui ne peuvent rien ressentir face à un homme d'un si grand talent... Ont écoutent les Tongues Roses comme on savoure un champagne... vous allez peut être me trouver dégueulasse mais je suppose que vous n'avez jamais essayés le champagne avec une tomate... C'est très bon pour la prostate... surtout celle des intellectuels de gauches... mais je m'égare...hum...hum...hum. Il faut maintenant que nous considérions les avancées régressive du groupe afin dans assimiler toute la beauté conceptuel car il semblerait qu'un lien nécessaire ce soit établis entre la dinde et eux hors comme la souvent dit Kant: "La nécessité sa nique sa race" Télérama, Hors série Les Tongues Roses: Révélation ou grossière Hypotiphose post positiviste. 2003